Après un bref passage à la fac, plus intéressée par la vie que par les études, je trouve d’improbables emplois comme cuisinière au centre national des arts du cirque, gardienne de camping ou animatrice VIP à Courchevel…
Sur les conseils de Denis Laurain, je décide en 2002 de participer à un stage de fonderie d’art avec Stuart Roussel, c’est une révélation, j’ai trouvé ma voie.
Pour apprendre le moulage, la cire, la coulée ainsi que la ciselure et la patine, il a fallu une année, mes premiers bronzes sont exposés au salon des indépendants en 2003.
Puis, mes inspirations naissent des rencontres avec une chorégraphe et un maître d’aïkido, je sculpte des pionniers de la danse contemporaine et des figures traditionnelles japonaises.
Mon temps s’équilibre entre modelage et fonderie.
En 2012, je rencontre David Lalloz qui me permet d’affiner la technique du moulage, en m’intégrant au projet de reproduction du bassin d’apollon (Versailles).
Touche à tout, émue par Brancusi autant que par Camille Claudel, mes créations oscillent entre figuration et épure.
"On peut être artiste sans être rien de particulier"
Marcel Duchamp
Sur les conseils de Denis Laurain, je décide en 2002 de participer à un stage de fonderie d’art avec Stuart Roussel, c’est une révélation, j’ai trouvé ma voie.
Pour apprendre le moulage, la cire, la coulée ainsi que la ciselure et la patine, il a fallu une année, mes premiers bronzes sont exposés au salon des indépendants en 2003.
Puis, mes inspirations naissent des rencontres avec une chorégraphe et un maître d’aïkido, je sculpte des pionniers de la danse contemporaine et des figures traditionnelles japonaises.
Mon temps s’équilibre entre modelage et fonderie.
En 2012, je rencontre David Lalloz qui me permet d’affiner la technique du moulage, en m’intégrant au projet de reproduction du bassin d’apollon (Versailles).
Touche à tout, émue par Brancusi autant que par Camille Claudel, mes créations oscillent entre figuration et épure.
"On peut être artiste sans être rien de particulier"
Marcel Duchamp